Bonjour à tous! 

« Une revenante » direz-vous.

Voilà un certain temps que je n’ai pas couché sur papier mes petites pensées. Non je ne me suis pas transformée en robot automatisé. Quoique le mode survie pourrait s’apparenter à ce genre de fonctionnement. Loin de moi l’idée de faire pleurer dans les chaumières, mais disons qu’il y a des moments dans la vie où ce n’est juste clairement pas le moment.

C’est quand même fou se besoin de se justifier sur tous ses faits et gestes.

Regardez (ou plutôt lisez), je tente de rédiger quelques lignes inspirantes et tout ce début ressemble davantage à des mots s’excusant d’être là plus qu’à un réel message qui s’assume. Trêve de bavardages ou brouillard spirituel. Foutez-vous la paix.

Vous aimez poser 1 milliard de questions au restaurant avant de commander votre plat? Arrêtez les demandes hésitantes et passez à l’interrogatoire digne d’un inspecteur du guide Michelin. Tout comme certains s’empressent de retirer le cornichon de leur Cheeseburger, dépêchez-vous de vivre en faisant ce qui vous fait du bien. Peu importe le regard des autres, tant que le vôtre est doux et apaisé, il vous rendra imperméable au flot de jugements dans lequel nous baignons quotidiennement.

Sachant que l’on se crée la majorité (si ce n’est pas la totalité) de ses tourments, je vous invite à tendre vers la simplicité. 

Conjuguons ensemble un mantra pour le mois de septembre et ceux à venir : 

Je suis quelqu’un de bien, vous êtes des personnes bien, nous sommes des gens bien. 

J’en vaux la peine, vous en valez la peine, nous en valons la peine. 

Comme dirait ce cher Ken (alias Nekfeu) : « Faut jamais céder à la pression du groupe, t’façon quand tu fais du mal au fond tu ressens du doute. » 

Sois en paix avec toi-même, soyez en paix avec vous-mêmes, soyons en paix avec nous-mêmes. 

Si on parvient déjà à se regarder dans une glace, le reflet des autres sera plus simple à affronter ou plutôt constater, car il n’y a aucune confrontation à avoir. 

« Et si tu ne vois que des clones, que ça a commencé à l’école et que tu as poussé comme une rose parmi les orties, » fais comme Nekfeu: « Nique les clones! »

La vulgarité c’est comme le caramel au beurre salé: à petite dose ça devient de la prose (et oui j’ose!) . 

Sur ce, je vous souhaite un joyeux mois de septembre! 

☞ À bientôt pour une prochaine Little Thought!

❀ Flowerinthecity ❀