Bonjour à tous,
« Lorsqu’on a la santé, on a tout. »
Ce genre de phrase rentre tout à fait dans l’apanage du « parfait » être humain qui vit en pleine conscience au milieu d’accros aux plaisirs futiles.
C’est cool de se sentir bien. Tellement cool que des fois ça s’oublie. Ça s’oublie tellement bien que d’un coup on ne se sent plus bien, parce que la tour de contrôle perchée au-dessus de nos deux yeux, s’ennuie sec et cherche à tout prix un petit rail d’angoisses pour nous faire dérailler. Aussi facilement et rapidement qu’un de ces plaisirs futiles, on est capable de se tirer une balle dans le pied alors que notre seul souhait serait de commencer la journée du bon pied.
Revenons à notre histoire de plaisir.
Épicurien au féminin comme au masculin, adepte de pâtes fraîches saupoudrées d’un pecorino romano de qualité…ce n’est pas pour autant qu’on dirait non à petit pesto Barilla tout bon tout prêt (SACRILÈGE).
L’atmosphère créée par un bon vieux vinyle est inégalable…néanmoins les premières notes de la Macarena, qu’elles proviennent d’une radio, un CD ou pire (voir mieux?) une playlist sur notre téléphone, n’en demeure pas moins imprimées dans notre ADN. Tout le monde c’est un jour senti heureux de pouvoir combler un blanc dans une soirée en encensant ou démolissant ce vieux tube. Un classique, c’est comme la météo : qu’il pleuve ou qu’il neige, personne n’y est imperméable.
Tout est une question d’équilibre, une fois de plus!
Pourquoi avoir nécessairement besoin de choisir un extrême bien défini pour forger son identité? Un tas de bonnes choses suffisent à premièrement, se construire un bon fond et si l’on ajoute une couche de bienveillance, il y a de fortes chances pour que vous deveniez/soyez quelqu’un de bien. « Oui mais, j’ai fait ça…je ne suis pas assez ça… » Ça commence à bien faire! Faites votre crise, prenez un chocolat et attendez que l’hormone du bonheur fasse effet. Blague à part, vous qui me lisez, vous possédez déjà une base indispensable : être vivant(e). Partant de cela, il devient alors possible d’accomplir beaucoup de choses. Il serait peut-être temps de commencer à les visualiser? Pourquoi ne pas commencer par les noter. Voir ses idées écrites noir sur blanc (ou pixelisées sur un écran) constitue déjà une première étape. Vous n’avez rien à perdre et au pire il reste le chocolat.
La réalité veut qu’un élément se détache de notre volonté. En effet, la condition que nous avons souvent tendance à oublier ou à prendre pour acquise, c’est la santé. Cette dernière sommeille plus ou moins paisiblement et ne demande qu’à être soigneusement bercée.
Tâchons d’apprécier du mieux que nous pouvons tous les plaisirs de la vie sans jugement. Du moment que ça nous fait du bien, on n’a besoin de rien.
☞ À bientôt pour une prochaine Little Thought !
❀ Flowerinthecity ❀
