Bonjour à tous! 

Aujourd’hui, je reviens avec ma petite pensée du mois de Mars 2019.

En contradiction avec le temps qui s’est plutôt rafraîchit, mon esprit quant à lui a bouillonné de nouvelles idées et méthodes pour améliorer sa cohabitation avec la déprime saisonnière.

Tout comme la douce et chaleureuse odeur d’un plat mijoté par notre chère Maman et/ou cher Papa s’étant donné la peine de penser à notre petit ventre, mon esprit s’est embaumé de pensées réconfortantes à l’égard de mon corps, ce héros.

Nous vivons dans une société où l’image de la femme est surexploitée et utilisée à outrance, que ce soit pour revendiquer une noble cause ou simplement afficher les dérives d’un monde superficiel, mais qui se soigne. C’est donc à coup de « Body Positive » et autres mouvements soi-disant bienveillants qu’on se fait bonne conscience.

☞ Chacun pour soi et les médias pour tous. Stop. 

Étiré, retouché, instagramé… Mon corps, ce héros souffre en silence. Lorsque le champ des possibles s’offre à nous, on a l’impression de ne jamais être « assez » car on pourrait toujours être « plus ». Et bien je clame haut et fort que nous valons davantage que ces deux petits mots pesant beaucoup trop lourd sur nos épaules.

JE – TU – NOUS SOMMES. Exactement. Vous avez bien lu.

Je vous propose un exercice. Posez-vous la question suivante:

Comment je trouve ma maman physiquement? 

Bizarre non?

Pour moi cette question fut un déclic : elle a raisonné de manière totalement absurde dans mon esprit (telle un petit singe battant ses cymbales). Ma Mère, ma guerrière, ma Grande Dame aux nerfs d’aciers, capable de faire plier tous les tigres de papier. Cet être humain est tellement plus qu’un simple physique. Certes, pour moi ses bras demeurent les plus confortables du monde, mais avant tout, elle représente à mes yeux la preuve que l’on est avant tout des soleils qui brillent chacun à leur manière dans ce monde d’apparences.

C’est donc munie de mes lunettes de soleil en ce jour de pluie, que je m’en vais rayonner pour le meilleur et pour le pire, mais toujours portée par la bienveillance.

Et mon corps dans tout ça ? Et bien on dirait qu’il a repris des couleurs.

☞ À bientôt pour une prochaine Little Thought!

❀ Flowerinthecity ❀