Bonjour à tous!
L’année démarre sur les chapeaux de roues avec une petite pensée DEBUT janvier. Pour une fois que je suis en avance, accordez-moi un peu de vantardise (oui je me la pète hihi).
Ces derniers jours mes réflexions sont beaucoup tournées vers les réseaux sociaux. Instagram, Facebook, Snapchat et j’en passe. Je suis personnellement présente sur un bon nombre d’entre eux sans pour autant m’y sentir à ma place. Spectatrice de contenus qui m’intéressent ou non, je passe plus de temps à scroller mon fil d’actualité plutôt qu’à générer des publications.
De nos jours, j’ai le sentiment qu’il plane sur nous une certaine pression qui nous pousse à être « connectés », au risque de ne pas être à la page ou d’être carrément hors du système. Paradoxalement, plus je suis active sur mon smartphone ou un autre média de communication et moins je me sens…vivante. Cette affirmation peut vous paraître extrême, mais elle exprime pour moi le creux générationnel dans lequel j’ai grandi.
Issue de la génération « Z » (born in 1996), j’ai vécu la naissance et l’évolution des technologies de l’information et de la communication tout en conservant la pleine conscience qu’il y avait un « avant ». Bien souvent je me sens nostalgique de l’époque où le fait de se parler face à face suffisait à régir les relations humaines. En effet parfois, j’ai l’impression que les réseaux sociaux sont des voleurs de moments. Comme si les êtres humains n’étaient plus capables d’apprécier leurs vies tout seul et qu’ils ont désormais besoin de partager leur quotidien afin de valoriser ce dernier aux yeux de parfaits inconnus. Chaque nouveau phénomène engendre des aspects positifs et négatifs. N’oublions pas que les réseaux sociaux offres de magnifiques opportunités. Il s’agit maintenant d’en faire bon usage et de savoir vivre en accord avec son temps.

En parlant de temps, je crois que le miens est écoulé… ☞ À bientôt pour une prochaine Little Thought!
❀ Flowerinthecity ❀